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Revue du sujet


10 derniers messages [ en ordre inverse ]

Gaia (Membre)
2005-11-10 20:56
Inscrit: Sep 27, 2004 Messages: 34
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Gonz!
Tu mélanges avec l'altérophilie .

Toulouse (Membre)
2005-11-10 15:31
Inscrit: Oct 24, 2004 Messages: 148
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Sa peut toujours s'appliquer au activité sportive.. exemple..

Si un monsieur joue au bowling avec un ptit gars... pis qui demende au ptit gars de lui toucher le penis..et bien nous voici la pedophilie lié au activité sportive..

mais un autre débat s'impose.. est ce que le bowling est un sport..
si oui.. est ce que le pool est un sport ? si oui est ce que...



GonzzonG (Décodeur requis)
2005-11-10 15:12
Inscrit: Apr 06, 2002 Messages: 1991
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Mais quesque la pédophilie.... pensait c'était uen activité sportive calisss.. désolé je suis pas dedans

-----------------
Le Monde Des Guitares De Jean Leloup


©º°šš°º© J'aime la vie, mais cibole que c'est court et compliqué! On met beaucoup de temps à comprendre qu'on comprend rien. ©º°šš°º© GönZZönG

Toulouse (Membre)
2005-11-10 13:50
Inscrit: Oct 24, 2004 Messages: 148
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J'ai vue un film(documentaire..) y'a pas longtemps..

C'était un gentil papa qui a été accusé de pédophilie.. et puis finalement .. il a été prouvé coupable..

C'est enfant qui se faisait interviewer voulait pas accepter que sa soit vrai... C'était leurs père..Sa se pouvait pas à leurs yeux..

C'est pas le fait de coucher avec un adulte qui me trouble.. c'est le fait de savoir que l'adulte est accusé de pédophilie et puis qu'on laisse quand même l'enfant couché avec le monsieur....

Mais bon.. on peut pas vraiment débattre la dessus comme ta si bien dit.. c'est de l'opinion j'imagine.

Mais bon.. j'ai aucune idée si M. Jackson touche au petit enfant ou pas.. donc je le défend pas et je l'accuse pas.... je va laisser les américains s'en charger.. y font tellement bien sa...

M. Gonzo.. La pédophilie c'est l'action d'être vilain avec les petits.. Quand un monsieur te donne des bonbons pour que tu rentre dans son auto et après il te viole.. sa pourrait être considérer de la pédophilie.. (si t'est un enfant bien sur) Ou encore.. Si jamais tu est entrain de gravir la tour effeil.. et qu'un M. te touche le pénis.. sa pourrait être de la pédophilie si t'Est un enfant.. OU encore.. si ton mononc t'amène dans sa chambre à noel pour que tu touche à son pénis.. et que tu est un enfant.. sa pourrait encore être de la pédophilie.. ho oui .. les exemple sont à l'infini!!

ha lalalala


Gaia (Membre)
2005-11-09 20:31
Inscrit: Sep 27, 2004 Messages: 34
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Hihihi.... Toulouse, ça va être un débat sans fin, parce que ça dépend de nos perceptions.

Je suis capable de me revoir quand j'étais petite, dormir dans le lit de mon père, de mon oncle, de l'ami de mon père qui nous gardait. Ces hommes ont toujours été adorables avec moi et rien de malsain n'est arrivé! Donc c'est facile pour moi de comprendre que c'est possible que des hommes dorment avec des enfants qu'ils aiment, et qu'il ne se passe effectivement rien de sexuel.

Quote:

Le 2005-11-09 18:34, GonzzonG a écrit:

Au fait quesque la pédophilie???



Ben l'association des pédophiles dit que c'est une déviance sexuelle, au même titre que l'homosexualité, mais je trouve que leur raisonnement est cave en calvaire.

L'homosexualité est acceptable, du fait que ce sont des adultes conscentants qui s'y adonnent.

La pédophilie se fait par «conscentement» manipulé et sur de jeunes humains qui n'ont pas passé la puberté, qui n'ont pas la maturité sexuelle physiquement.

C'est anormal, facile, abusif, dégueulasse.

Quote:

Le 2005-11-09 18:34, Toulouse a écrit:

Quand M.Jackson affirme qu'il laisserai un homme qu'il connait bien laisser coucher avec un enfant même si celui si était accuser de pédophilie....

je trouve sa ... quelque peu abhérant..



À première vu, c'est vrai que ça peut être aberrant. Mais essaye de comprendre comment il voit la chose. Comme GonzzonG dit, si ton père se faisait accuser de pédophilie et que tu sais que ce n'est pas vrai, tu laisserais probablement tes enfants dormir avec lui quand même.

C'est exactement ce que Michael Jackson dit:

ED BRADLEY: (...)Que celles portées contre vous, laisseriez vos enfants dormir dans la chambre de cet homme ?

MICHAEL JACKSON: Mmm, si je le connaissais personnellement. Parce que je sais comment est la presse, et comment les gens peuvent déformer la vérité, si je le connaissais personnellement, oui absolument. Absolument. Ca ne me poserait aucun problème



GonzzonG (Décodeur requis)
2005-11-09 18:34
Inscrit: Apr 06, 2002 Messages: 1991
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Accusé veut pas dire.. coupable....
Moi je sais tres bien que ma mere abusera jamais d'un enfant.. meme accusé je lui ferais confiance... je pense que Micheal est pas un homme ordinaire... qui peut oui avoir le coeur asser grand pour ouvir son monde a des millier d'enfant... Malgré soon affreuse tete... je crois qui va aller au paradis... et la ca va paraitre atroce ce que je vais dire.... mais si il a aidé des millier d'enfant... et qui a seulement une personne qui se plein... What the fuck... c'est pas pire que cloutier qui abuse d'une jeune fille de 14 ans... ou des nombreux gars qui trompe leur femme avec une danceuse... qui conduise soul... Un crime st'un crime... on vit dans un monde de jaloux et d'imbécile qui pense qu'Au sex et l'Argent... pis micheal est une victime facile...

Je serait curieux de compter qui est véritablement correct....

j'encourage pas la pédophilie.. parceque c'est une maladie mental... c,est pas pire que l'alcoolique qui s'occupe pas de ses enfants a quelque part... je divague

Au fait quesque la pédophilie???

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Le Monde Des Guitares De Jean Leloup


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Toulouse (Membre)
2005-11-09 16:44
Inscrit: Oct 24, 2004 Messages: 148
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...

Quand M.Jackson affirme qu'il laisserai un homme qu'il connait bien laisser coucher avec un enfant même si celui si était accuser de pédophilie....

je trouve sa ... quelque peu abhérant..

Combien d'enfant se faisait tripoter par mononc.. ou bien grand papa ??... quelqu'un de si proche... qu'on connaissait si bien..

C'est bien beau... même s'il affirme qu'il est innocent.. mais de la à faire de tel énoncé... je trouve sa ... DÉCONCERTANT.. HO OUI DÉCONCERTANT..

Gaia.. avoue que c'est quand même étrange... En tout cas.. pour ma part si un monsieur de 45 très proche de moi était accuser de pédophilie et bien je le laisserai surement pas dormir dans le même lit que mon enfant..



[ Ce Message a été édité par: Toulouse le 2005-11-09 17:04 ]

Gaia (Membre)
2005-11-09 02:01
Inscrit: Sep 27, 2004 Messages: 34
Email | répondre en citant
Traduction de l'interview de Michael Jackson diffusée sur CBS :




ED BRADLEY: Que répondez-vous aux accusations portées par le procureur de Santa Barbara, que vous avez abusé d'un garçon ?

MICHAEL JACKSON: C'est totalement faux. Avant de faire du mal à un enfant, je me trancherais les veines. Je ne ferai jamais de mal à un enfant. C'est totalement faux. J'étais écoeuré. Je ne pourrais jamais faire une telle chose.

ED BRADLEY: C'est un enfant que vous connaissiez ?

MICHAEL JACKSON: Oui.

ED BRADLEY: Comment décririez-vous la relation que vous aviez avec cet enfant ?

MICHAEL JACKSON: J'ai aidé beaucoup, beaucoup, beaucoup d'enfants, des milliers d'enfants, atteints du cancer, de la leucémie. C'est un de ceux-là.

ED BRADLEY: Mais dites-moi pourquoi vous avez créé Neverland ?

MICHAEL JACKSON: Parce que je voulais un endroit où je pouvais créer tout ce que je n'ai jamais eu étant enfant. Alors vous verrez des manèges, des animaux. Il y a un cinéma. J'étais toujours en tournée, et je n'ai jamais eu l'occasion de faire ces choses-là. Alors je compense ce que j'ai perdu en... Ce que je veux dire c'est que je ne peux pas aller dans un parc, je ne peux pas aller à Disneyland comme ça, en étant moi-même. Je ne peux pas sortir et me promener dans la rue, ça provoque des ruées de foules et des embouteillages. Donc je crée mon monde derrières mes grilles. Tout ce que j'adore est derrière ces grilles. On a des éléphants, des girafes, des crocodiles, toutes sortes de tigres et de lions. Et on reçoit des bus entiers de gamins qui n'ont pas l'occasion de voir ça. Des enfants malades viennent et s'amusent. Ils profitent de leur journée de façon pure, affectueuse et joyeuse. C'est ceux qui ont des pensées sales qui pensent ça. Je ne pense pas de cette façon, ce n'est pas moi.

ED BRADLEY: Et vous croyez qu'en vous voyant les gens pensent cela de vous aujourd'hui ?

MICHAEL JACKSON: S'ils ont des pensées malsaines, oui. Et s'ils croient les immondices qu'ils lisent dans les journaux, oui. Et souvenez-vous d'une chose. Ce n'est pas parce que c'est écrit que c'est parole d'évangile. Les gens écrivent des choses négatives parce qu'ils croient que c'est ce qui se vend le mieux. Pour eux les informations positives ne vendent pas.

ED BRADLEY: Donc quand il venait que faisait-il ? Que faisiez-vous ?

MICHAEL JACKSON: Je vais vous le dire précisément. La première fois que je l'ai vu il était complètement chauve, blanc comme neige à cause de la chimiothérapie, très squelettique, il avait l'air anorexique, il n'avait pas de sourcils, pas de cils. Et il était si faible, je devais le porter de la maison à la salle de jeux, ou bien le pousser dans une chaise roulante, pour essayer de lui donner une enfance, une vie. Parce que j'avais mal pour lui. Parce que je n'avais jamais eu cette chance non plus quand j'étais enfant. Vous voyez ? Je savais ce qu'il pouvait ressentir. Pas le fait d'être malade, mais de ne pas avoir d'enfance. Je compatis, je ressens leur souffrance.

Il n'avait jamais vraiment grimpé à un arbre. Donc j'avais cet arbre à Neverland. Je l'appelle mon "Abre qui Donne" (Giving Tree), parce que j'adore écrire des chansons là-haut. J'ai écrit tellement de chansons dedans. Alors je lui ai dit, "Tu dois grimper à un arbre, ça fait partie de ta vie de petit garçon. Il faut vraiment que tu le fasses." Et je l'ai aidé à grimper. Et une fois qu'il était en haut de l'arbre on a regardé au-dessus des branches. Et c'était si beau, c'était magique. Et il a adoré ça! C'était pour lui donner une chance de vivre. Parce qu'il allait mourir, c'est ce qu'ils lui ont dit. Ils ont dit à ses parents de prendre leurs dispositions pour son enterrement, c'est pour vous dire à quel point c'était grave. Et je lui ai fait suivre un programme. J'ai aidé beaucoup d'enfants en faisant cela. Je lui ai fait suivre un programme mental.

ED BRADLEY: Que se passait-il dans votre tête lorsqu'on vous a arrêté, mis les menottes, qu'on devait prendre votre photo, alors qu'elle allait être diffusée dans le monde entier ?

MICHAEL JACKSON: Ils ont fait ça pour essayer de me rabaisser, pour essayer de me prendre ma fierté. Mais j'ai fait tout ce qu'ils voulaient. Et à la fin, je voulais que le public sache que j'allais bien même si j'étais blessé.

ED BRADLEY: Que s'est-il passé quand ils vous ont arrêté ? Que vous ont-ils fait ?

MICHAEL JACKSON: Ils étaient supposés rentrer et simplement prendre mes empruntes digitales, et faire tout ce qu'ils font lorsqu'ils arrêtent quelqu'un. Ils m'ont vraiment malmené. Mon épaule est littéralement disloquée. Ca me fait très mal, constamment. Vous voyez ce bras ? Je n'arrive pas à aller plus loin que ça. Pareil pour l'autre côté.

ED BRADLEY: A cause de ce qui s'est passé au poste de police ?

MICHAEL JACKSON: Oui, oui, au poste de police. Et ce qu'ils m'ont fait... si vous voyiez ce qu'ils m'ont fait au bras... ils m'ont fait très mal. C'est très enflé. Je ne veux rien dire. Vous verrez, vous verrez.




ED BRADLEY: Comment ont-ils fait ça ? Je veux dire physiquement qu'est-ce qu'ils ont fait ?

MICHAEL JACKSON: C'est à cause des menottes, ils me les ont trop serrées derrière le dos.

ED BRADLEY: Derrière votre dos ?

MICHAEL JACKSON: Oui. Et ils les ont mises dans une certaine position de manière à ce que ça me fasse mal et que ça me fasse mal au dos. Maintenant je ne peux pas bouger. Ca m'empêche de dormir la nuit, je ne peux pas dormir.

Et à un moment j'ai demandé à aller aux toilettes. Et ils ont dit "Bien sûr, c'est dans le coin là-bas." Une fois aux toilettes, ils m'ont enfermé dedans pendant quelque chose comme 45 minutes. Il y avait du caca, des excréments jetés sur les murs, par terre, au plafond. Et ça puait tellement. Et puis un policier est arrivé devant la vitre. Et il m'a fait une remarque sarcastique. Il m'a dit "Tiens sens! Ca sent assez bon là-dedans pour toi? Tu aimes l'odeur? C'est bon?" Et j'ai juste répondu "Ca va, c'est pas mal." Donc je me suis assis là et j'ai attendu.

ED BRADLEY: Pendant 45 minutes ?

MICHAEL JACKSON: Oui, 45 minutes. Environ 45 minutes. Et puis ensuite un flic venait en disant "Oh, on va te faire sortir dans deux secondes, tu seras sorti de là dans deux secondes." Et puis 10 minutes de plus, et encore 15 minutes de plus. Ils l'ont fait exprès.

ED BRADLEY: Qu'avez-vous ressenti quand ils ont allés dans Neverland, avec leur mandat de perquisition ? Que cherchaient-ils ? Qu'ont-ils pris ?

MICHAEL JACKSON: Mes employés m'ont dit que ma chambre est un véritable champ de bataille. Ils m'ont dit : "Michael, ne va pas dans ta chambre." Mes employés pleuraient au téléphone. Ils ont dit "Si tu voyais ta chambre tu pleurerais." Il y a un escalier qui monte jusqu'à mon lit, et ils ont dit "Tu ne peux pas monter l'escalier, la chambre est totalement saccagée." Et ils ont envoyé 80 personnes dans cette pièce, 80 personnes dans une chambre ! C'est vraiment exagéré. Ils ont pris des couteaux et ont ouvert mes matelas avec... ils ont tout coupé pour les ouvrir.

ED BRADLEY: Ils ont pris des choses de Neverland ?

MICHAEL JACKSON: Je ne sais pas vraiment ce qu'ils ont pris. Ils ne m'ont jamais donné de liste.

ED BRADLEY: Mais vous dites qu'ils ont détruit votre propriété ?

MICHAEL JACKSON: Oui, c'est bien ça. Ensuite ils ont enfermé tous les employés de la maison dehors. Ils avaient la maison à eux seuls pour faire tout ce qu'ils voulaient. Et ils ont complètement abusé de la situation. Ils sont allés dans des endroits pour lesquels ils n'avaient pas de mandats de perquisition, où ils n'avaient pas à aller, comme mon bureau. Et ils ont complètement abusé de la situation. Et ils m'ont dit que ma chambre était un vrai taudi, un vrai taudi. Je ne pense pas vouloir voir ça, je ne suis pas prêt à voir ça.

ED BRADLEY: Alors vous n'y êtes pas retourné ?

MICHAEL JACKSON: J'y suis retourné, mais pas dans ma chambre. Je ne vivrai plus jamais là-bas. J'irai de temps en temps en visite à Neverland. C'est une maison désormais, je ne m'y sens plus chez moi. J'irai seulement là-bas en visite. [A Grace] Quelle heure est-il? Parce que j'ai mal. Vous savez, ça élance. Je vais devoir partir bientôt de toute façon, je ne me sens pas bien.

MICHAEL JACKSON: L'argent, la cupidité. La cupidité est entrée en jeu à un moment, et quelqu'un... je n'arrive pas trop à le décrire. Mais cela a avoir avec l'argent. C'est Michael Jackson. Voyons ce que nous avons là, on peut en tirer de l'argent. C'est exactement ce qui s'est passé.

ED BRADLEY: Vous l'aviez aidé pour son cancer. Ce que je ne comprend pas c'est pourquoi aujourd'hui - et je sais que vous pensez que c'est pour de l'argent, mais pourquoi il changerait de comportement en disant "Michael Jackson a abusé de moi sexuellement" si ça n'était pas vrai ?

MICHAEL JACKSON: Parce que les parents ont de l'influence sur les enfants. Ils estiment qu'ils doivent faire ce que leur disent leurs parents. Mais l'amour de l'argent, c'est la racine de toute méchanceté. Et c'est un enfant adorable. Et le voir changer comme ça... ce n'est pas lui. Ce n'est pas lui.

ED BRADLEY: Donc vous ne pensez pas que ça vienne de lui ?

MICHAEL JACKSON: Non.

ED BRADLEY: Ca vient de ses parents ?

MICHAEL JACKSON: Non, ce n'est pas lui. Je sais ce qu'il a au fond du coeur

- - - Jackson a dit que même s'il le pouvait il ne règlerait pas cette affaire à l'amiable comme en 1993.- - -

ED BRADLEY: Donc, si vous étiez innocent, pourquoi iriez-vous payer ? Je veux dire, pourquoi ne pas avoir été en justice pour vous defendre ?

MICHAEL JACKSON: Je n'ai pas le droit d'en parler.

*MARK GERAGOS*: Je vais vous interrompre deux secondes.

ED BRADLEY: Très bien.

Michael Jackson : Eh bien voilà, c'est parti !

*MARK GERAGOS*: Rappelez-vous ce qui lui est arrivé il y a dix ans. On l'a humilié. Il a dû subir une examination, des photos. On l'a humilié en regardant ses organes intimes et en les prenant en photo. Et ont l'a soumis à des choses tellement indiscrètes que vous n'imagineriez même pas. Je ne peux qu'essayer de me mettre à sa place et me dire, bon, si l'argent est le moyen de terminer cette situation... c'était peut-être ça le calcul. Je ne sais pas et je ne veux pas dire de bêtises.

ED BRADLEY: Mais tout cela fait que le public croit que ceci n'est pas arrivé qu'une seule fois, c'est arrivé deux fois. Que de jeunes garçons sont venus l'accuser d'avoir abusé d'eux sexuellement ces dix dernières années. Et il a dit publiquement à quel point il aimait partager son lit avec des enfants. On peut comprendre que le public se dise qu'il y a peut-être un problème. Il y a beaucoup de fumée.

*MARK GERAGOS*: Eh bien écoutez, il y a beaucoup de fumée. Mais un grand nombre de personnes qui entretiennent ce feu déforment ce qui s'est passé. Je comprends quand les gens se disent que quelqu'un d'autre est venu se plaindre de Michael. Mais je crois qu'en toute équité la plupart des gens ont compris. La plupart des gens comprennent que la cause est une histoire d'argent.

Nous avons demandé à la mère de l'accusateur de nous donner sa version des faits, mais elle a refusé et a refusé de laisser quiconque parler en son nom.

ED BRADLEY: Ce documentaire anglais en février que vous n'avez pas aimé...

MICHAEL JACKSON: Oui, je n'ai pas aimé.

ED BRADLEY: Vous avez dit dans ce documentaire que beaucoup d'enfants avaient dormi dans votre chambre.

MICHAEL JACKSON: Oui.

ED BRADLEY: Vous avez dit, je cite, "Pourquoi ne pouvez-vous pas partager votre lit ? La chose la plus affectueuse que l'on puisse faire c'est de partager son lit avec quelqu'un."

MICHAEL JACKSON: Oui.

ED BRADLEY: Au jour d'aujourd'hui, pensez-vous toujours qu'il est correct de partager votre lit avec des enfants ?

MICHAEL JACKSON: Bien sûr. Bien sûr. Pourquoi pas ? Si on va se comporter comme un pédophile, comme Jack l'Eventreur, comme un meurtrier, ce n'est pas une bonne idée. Je ne suis rien de tout ça. C'est comme ça que nous avons été élevés. Et je n'ai pas dormi dans le lit avec cet enfant. Et même si je l'avais fait, ce n'est pas grave. Je dormais par terre. J'ai donné mon lit à cet enfant.

ED BRADLEY: Oui mais quand on considère tout ce que vous avez traversé...

MICHAEL JACKSON: Oui.

ED BRADLEY: Quand on entend ces accusations, ces insinuations, pourquoi vous mettriez-vous dans une position qui pourrait vous apporter les mêmes problèmes ?

MICHAEL JACKSON: Eh bien je fais toujours plus attention. Mais je ne cesserai jamais d'aider et d'aimer les enfants comme Jésus l'a dit. Il a dit "Continuez à aimer. Aimez toujours. Amenez des enfants. Faites comme les enfants." Ce n'est pas puéril, mais enfantin.

*MARK GERAGOS*: Il y avait à chaque instant entre le 7 février et le 10 mars, quand Michael était là, il y avait toujours une tierce personne présente. Toujours.

ED BRADLEY: Et cette accusation sur l'agent alcoolisé, du vin dit-on, qui aurait permis à l'enfant d'être plus docile ?

*MARK GERAGOS*: Ridicule! Il y a à chaque instant 100 employés à Neverland. Il y a des agents de sécurité à plein temps. Il y a des gens présents toute la journée, 24h/24h, 7 jours sur 7, qui ont justement des consignes spécifiques d'empêcher des gens de faire ça. Les enfants sont complètement hors de portée d'alcool.

ED BRADLEY: Vous êtes père, vous avez trois enfants.

MICHAEL JACKSON: Oui.

ED BRADLEY: Vous laisseriez vos enfants dormir dans le même lit qu'un homme adulte qui n'est pas un parent, ou bien dormir dans sa chambre ?

MICHAEL JACKSON: Bien sûr! Si je connais cette personne, si je lui fais confiance et que je l'aime. Ca m'est arrivé souvent quand j'étais petit.

ED BRADLEY: En tant que parent, vous laisseriez vos enfant dormir dans la même chambre que quelqu'un sur qui on porte les mêmes accusations que sur vous ?

MICHAEL JACKSON: Quelqu'un...

ED BRADLEY: Si vous connaissiez quelqu'un sur qui on portait le même genre d'accusation...

MICHAEL JACKSON: Ed, je vois parfaitement ce que vous voulez dire.

ED BRADLEY: Que celles portées contre vous, laisseriez vos enfants dormir dans la chambre de cet homme ?

MICHAEL JACKSON: Mmm, si je le connaissais personnellement. Parce que je sais comment est la presse, et comment les gens peuvent déformer la vérité, si je le connaissais personnellement, oui absolument. Absolument. Ca ne me poserait aucun problème.

ED BRADLEY: Vous savez ce dont ça a l'air pour beaucoup de gens ? Vous les comprenez ?

MICHAEL JACKSON: Qu'est-ce qui a l'air de quoi ?

ED BRADLEY: Le fait que...

MICHAEL JACKSON: Vous savez pourquoi? Les gens pensent au sexe, ils pensent au sexe. Mon esprit ne fonctionne pas de cette façon. Quand je vois des enfants, je vois le visage de Dieu. C'est pour ça que je les aime tant, c'est cela que je vois.

ED BRADLEY: Vous connaissez un homme de votre âge, de 45 ans, qui partage sa chambre avec des enfants ?

MICHAEL JACKSON: Bien sûr! Pas pour le sexe! Non, c'est innacceptable.

ED BRADLEY: Eh bien je dois dire que je ne connais aucun homme de 45 ans qui partage sa chambre avec des enfants dont il n'est pas un parent.

MICHAEL JACKSON: Eh bien, qu'y a-t-il de mal à partager son lit ? Je n'ai pas dit que j'avais dormi dans le lit. Même si j'avais dormi dans le lit ça ne fait rien. Je ne ferai rien de sexuel à un enfant. Ce n'est pas ce que j'ai dans le coeur. Je ne ferais jamais une telle chose. Ca ce n'est pas Michael Jackson. Je suis désolé, c'est quelqu'un d'autre.

ED BRADLEY: Qu'est-ce que tout ça a fait à votre carrière ?

MICHAEL JACKSON: Ce que ça a fait à ma carrière ?

ED BRADLEY: Oui.

MICHAEL JACKSON: De quelle façon ?

ED BRADLEY: Quel impact tout ça a eu sur les ventes, les tournées...

MICHAEL JACKSON: Mon album est numéro un partout dans le monde. Dans le monde entier. Sauf les Etats-Unis, parce que... je ne veux pas en dire trop.

ED BRADLEY: Mais ça n'est pas numéro un aux Etats-Unis ?

MICHAEL JACKSON: C'est une conspiration. Je ne veux pas en dire trop, pour l'instant c'est suffisant! Je ne veux pas en dire trop parce que ça me fait mal, ça m'épuise.

ED BRADLEY: Michael, que diriez-vous à vos fans qui vous ont soutenu dans cette épreuve ?

MICHAEL JACKSON: Eh bien je leur dirais que je les aime beaucoup. Ils ont appris des choses sur moi de loin. Mais si vous voulez vraiment me connaître, j'ai écrit une chanson, et c'est la plus honnête que j'ai jamais écrite. C'est la chanson la plus autobiographique que j'ai jamais écrite. Elle s'appelle "Childhood." Ils devraient l'écouter. C'est vraiment celle qu'ils devraient écouter. Et merci pour votre soutien, aux fans du monde entier. Je vous aime de tout mon coeur. Je n'estime pas que tout cela m'est dû. Rien ne m'est dû. Et je les aime infiniment, dans le monde entier.



[ Ce Message a été édité par: Gaia le 2005-11-09 02:17 ]

Gaia (Membre)
2005-11-09 01:11
Inscrit: Sep 27, 2004 Messages: 34
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Quote:

Le 2005-11-08 18:05, Toulouse a écrit:

Le petit monsieur parle comme si on connaissait pas l'envers de cet offre. Mais il ne nous la présente pas non plus. il fait juste dire que peut-être que M.Jackson a fait sa par bonne intention...Sa ne me convainc pas vraiment.



Si son but était de convaincre, il n'a pas réussi, en effet. Comment je l'interprète, c'est que je crois qu'il voulait simplement planter une graine dans notre esprit... nous dire: «Et si on approfondissait un peu plus, voir?»

Quote:
De plus ... Même si il aurait fait sa par bonne intention je trouve sa très prétentieux de vouloir acheter quelqu'un afin d'éviter d'aller en cours.. se dire qu'on peu régler la justice (même si on est innocent) en payant.. je trouve sa quelque peu déconcertant comme façon de penser..



Et c'est d'autant plus déconcertant et prétentieux quand la justice elle-même accepte le pot de vin.
Irresponsabilité civile, que ça s'appelle. Le tribunal n'a pas été poursuivit pour ça, pourtant. Ça ne devait pas être si grave, finalement...

C'est juste une lettre de fan, rien de littéraire ou journalistique... c'est un texte d'opinion: on a la perception de l'auteur, c'est normal que ce soit pas THE enquête approndie. Ça n'enlève rien au message.

Comme il le dit, les fans de Michael Jackson se font souvent chier dessus par tout le monde, il est sûrement un peu tanné de ça. Imagine: de pas pouvoir écouter la musique que t'aime et admirer LE danseur qui t'fait tripper... sans qu'on te fasse des jokes plates sur lui.
Surtout, si jamais c'est un vieux fan, ça fait depuis 1993 (12 ans) qu'il ne peut pu dire: «Je trips sur Michael Jackson» sans s'attirer des commentaires poches. Ça doit être fatiguant un moment donné, j'le comprends de vouloir faire valoir son point. On dirait qu'il veut pousser les gens à s'informer un peu plus... c'est peine perdu, mais il a essayé.

Et moi j'essaye ici! C'est peine perdu, mais au moins j'aurai tenté quelque chose.

[ Ce Message a été édité par: Gaia le 2005-11-09 02:39 ]

Toulouse (Membre)
2005-11-08 18:05
Inscrit: Oct 24, 2004 Messages: 148
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Quote:

Le 2005-11-07 17:25, Gaia a écrit:

Mais après quelques jours, une nouvelle
est arrivée : Michael aurait donné plusieurs millions à la famille pour
annuler la poursuite. C?est une erreur de jugement de la part de M. Jackson (et son équipe de conseillés en image), qui a ouvert la porte à toutes les attaques qui en ont découlés depuis: car le doute s?est alors manifesté et c?est là que la confiance qu?on avait en lui s?est déstabilisée.

Dans la tête de Michael Jackson, régler le tout à l?amiable démontrait simplement qu?il ne voulait pas passer les 2 ou 3 prochaines années au tribunal, voulant terminer sa tournée et commencer d?autres projets. Il pensait peut-être que tout le monde se dirait la même chose. Mais dans la tête des médias et de beaucoup d?entre nous, régler à l?amiable était une preuve
possible de sa culpabilité : il avait acheté le silence.

Et du peu qu?on connaissait de cette entente, c?était normal d?avancer une
telle hypothèse. Mais si seulement on en avait su un peu plus sur les dessous de l?entente, on aurait peut-être reprit confiance et on n?aurait peut-être pu éviter d?utiliser Michael Jackson comme punching bag pendant un peu plus d?une décennie.
Faut-il jeter quelqu?un à la poubelle quand le doute plane? Renier les gens à la moindre incertitude?
[/i]

[ Ce Message a été édité par: Gaia le 2005-11-07 17:44 ]




Le petit monsieur parle comme si on connaissait pas l'envers de cet offre. Mais il ne nous la présente pas non plus.. il fait juste dire que peut-être que M.Jackson a fait sa par bonne intention...Sa ne me convainc pas vraiment..

De plus ... Même si il aurait fait sa par bonne intention je trouve sa très prétentieux de vouloir acheter quelqu'un afin d'éviter d'aller en cours.. se dire qu'on peu régler la justice (même si on est innocent) en payant.. je trouve sa quelque peu déconcertant comme façon de penser..

...



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